La Juventus s’est imposée 2 buts à 1 pour la deuxième fois de rang, encore une fois face à un promu : le Brescia de la pépite Sandro Tonali.
1ère période
Comme face à Verona, le match commence très mal et encore plus tôt. Sur des erreurs consécutives d’Alex Sandro puis Sczcesny, étonnement, Donnarumma fusille nos filets. Jusqu’à la 35ème minute, nous avons eu une possession stérile, les seules satisfactions ont été le duo Ramsey-Dybala. Ils ont été les lumières de cette période on ne peut plus terne. À partir de cette 35ème minute on a vraiment commencé à pousser (il était temps) et Dybala obtient un corner, qu’il frappe. Ce dernier est placé dans la bonne zone et Bonucci et De Ligt poussent le défenseur adverse au but contre son camp. On recolle enfin au score à la 40ème minute. À partir de là on n’a fait que dominer nos adversaires, en tout cas en terme de possession.
Seconde Période
Au retour des vestiaires, les joueurs ont eu la même domination en ayant cette fois-ci un peu plus d’occasions avec le trio Pjanic-Ramsey-Dybala en feu ! Le dernier cité est à rien de donner l’avantage aux bianconeri mais manque de précision à plusieurs reprises. À la 62ème minute, notre Joya décidément en grande forme, provoque un coup-franc très intéressant. Il le tire lui-même mais est contré par le mur, heureusement Pjanic intervient sur le rebond et déclenche une superbe demi-volée qui permet enfin à la Juve de prendre l’avantage à la 63ème minute. De là, il y a eu beaucoup de vendanges devant les buts, mais Joronen (le gardien de Brescia) était aussi dans un grand soir, et a sauvé à plusieurs reprise les Biancazzurri. Malheureusement après la sortie de Paulo, la Juve n’a fait que subir et a essayé de tuer le match grâce à ses contre-attaques mais Higuain et Bernardeschi n’étant pas dans un grand soir, ont tout raté. De ce fait, les nerfs étaient tendus jusqu’à la dernière minute !
Remplaçants et bilan du match
Sarri mérite une très bonne note pour sa gestion d’effectif au coup d’envoi ; c’était la meilleure formation et le meilleur dispositif en l’absence de Cristiano Ronaldo et Douglas Costa.
Cependant ça n’a pas été la même tasse de thé pour les changements car les entrés de Bernardeschi et Matuidi à la place de Ramsey et Dybala n’ont pas été bénéfiques à ce moment du match, bien au contraire. On a subit plus que prévu, et Maurizio Sarri n’a même pas daigné utiliser Emre Can, qui est frais et qui a à coeur de montrer que c’est un immense professionnel en donnant toute sa hargne sur le terrain.
Dans tous les cas, le Sarriball dans la possession défensive et la création offensive a bel et bien fonctionné, avec des joueurs aussi techniques c’est signe de très bonne augure pour la suite !
Statistiques du match
