Wojciech SZCZESNY: Gazzetta dello sport 6,5 / La Stampa 6 / Eurosport Italia 6

Le portier des bianconeri a été attentif et très concentré, ce qui est toujours difficile dans ce genre de match où il faut être décisif sur une ou deux actions. Il ne peut rien faire sur le pénalty de Perotti. Toujours présent.

Juan CUADRADO : Gazzetta dello sport 5,5 / La Stampa 6 / Eurosport Italia 5,5

Il n’est pas un pur latéral et cela se voit : il est en retard sur l’action du pénalty concédé, sans compter quelques fautes inutiles et une certaine déconcentration sur certaines actions offensives de la Louve. Il peut faire le travail, mais il n’est pas une solution à long terme pour le moment à ce poste.

Leonardo BONUCCI : Gazzetta dello sport 6 / La Stampa 6,5 / Eurosport Italia 6

Il a été un peu moins serein qu’à l’accoutumé mais il reste le patron de la défense, notamment en seconde période pendant les temps forts de la Roma qu’il a parfaitement maîtrisé.

Merih DEMIRAL: Gazzetta dello sport 7 / La Stampa 7 / Eurosport Italia 7

Le néo-juventino a marqué son premier but avec les Bianconeri, récompensé pour son engagement et sa nette supériorité dans les airs. Malheuresement, il se blesse au genou et doit céder sa place à la 19e minute, laissant planer le doute sur une potentielle fin de saison…

Alex SANDRO: Gazzetta dello sport 5 / La Stampa 5,5 / Eurosport Italia 5,5

Il a remis dans le match les Romains avec sa grossière faute de main dans la surface. Une erreur qui illustre un match moyen où le Brésilien n’a pas joué à son niveau habituel.

Blaise MATUIDI : Gazzetta dello sport 6 / La Stampa 6 / Eurosport Italia 6,5

Le milieu de terrain français a encore fait part de son énergie illimitée, qui insuffle un dynamisme positive au milieu de la Vieille Dame. Il a réalisé de bons centres et est loin d’être le plus mauvais sur ce match.

Adrien RABIOT : Gazzetta dello sport 6 / La Stampa 6,5 / Eurosport Italia 6

C’était son cinquième match sur les six derniers en tant que titulaire et il a réalisé sa meilleure prestation. Il a été efficace, pas seulement au milieu de terrain mais également en défense : il sauve son équipe en se posant en rempart contre la frappe de Pellegrini à la 18e minute.

Miralem PJANIC: Gazzetta dello sport 5 / La Stampa 5,5 / Eurosport Italia 6

Il a été conspué pendant tout le match par le Stadio Olimpico et il a eu de grande peine à se mettre dans le rythme du match. Il est averti très tôt pour une faute stupide sur Pellegrini et il a perdu de nombreux ballons qui ont mis en difficulté la défense. Un match à oublier pour le Bosnien.

Aaron RAMSEY: Gazzetta dello sport 5,5 / La Stampa 6 / Eurosport Italia 5,5

Il a été très discret en début de match, en ratant des passes simples sans se rendre disponible devant. Il augmente son niveau de jeu dans le dernier quart d’heure de la première mi-temps, sans faire de différence pour autant. Il est de nouveau transparent à la rentrée des vestiaires et Sarri décide de le remplacer quand il passe l’équipe en 4-3-3. Le Gallois devra montrer bien plus à son entraîneur s’il veut avoir une place de titulaire.

Cristiano RONALDO : Gazzetta dello sport 6,5 / La Stampa 7 / Eurosport Italia 6,5

Il s’est procuré la faute qui amène le coup-franc du premier but et il a un sang-froid incomparable pour tirer le pénalty. C’est son quatorzième but en seize matchs de championnat, et son sixième match d’affilée en marquant : Ronaldo est en très bonne forme. Il aurait même pu s’offrir un doublé en fin de match pour celer définitivement le résultat…

Paolo DYBALA: Gazzetta dello sport 7 / La Stampa 7 / Eurosport Italia 7

En dix minutes, il a étalé tout son talent : il dépose le coup franc sur la tête de Demiral et il obtient le pénalty transformé par Ronaldo. Il a fait un match de haut niveau, et râle contre son entraîneur après son remplacement. Il aurait pu marquer mais son but a été refusé pour un hors-jeu au millimètre. La Juventus a besoin de la légèreté et de la technicité de sa Joya.

Maurizio SARRI: Gazzetta dello sport 6 / La Stampa 6,5 / Eurosport Italia 6,5

La Juventus de Sarri est championne d’hiver en ne laissant filer que neuf points en dix-neuf matchs. Son équipe n’a pas encore acquis le « Sarri-ball »  et manque encore de finesse technique mais la Vieille Dame reste d’une froide efficacité qui lui permet un haut niveau de performance. La Juve a encore une marge de progression à franchir avant les échéances de février mais la confiance comptable est au moins là.

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